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Trop de produits chimiques ?
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Paul Johan de Graauw
Arbre


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MessagePosté le: Lun Oct 15, 2007 6:23 pm    Sujet du message: Répondre en citant

Salut à vous,
Encore une petite cyber pétion ?
Celle-ci est CONTRE les pesticides mais POUR un avenir moins contaminé pour vos enfants (je n'en ai pas)

Voir sur :
http://www.cyberacteurs.org/actions/lettre_dep.php?id=172

@+ Paul
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Paul Johan de Graauw
Arbre


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MessagePosté le: Lun Nov 12, 2007 12:18 pm    Sujet du message: le 14/11-20h50 sur FR2 / PESTICIDES dans notre ALIMENTATION Répondre en citant

Salut à vous,
A NE PAS MANQUER :


Sur France 2 mercredi 14 novembre 2007 à 20h50 à signaler une émission avec la Participation du MDRGF :
Une émission sur l'alimentation qui parle des pesticides et de l'action du MDRGF sur France 2 et aussi une nouvelle étude sur les pesticides et les cancers du cerveau.

Lire le résumé de l'étude (en anglais... désolé) à :
http://oem.bmj.com/cgi/content/abstract/64/8/509?maxtoshow=&HITS=10&hits=10&RESULTFORMAT=&author1=baldi&fulltext=2007&andorexactfulltext=and&searchid=1&FIRSTINDEX=0&sortspec=relevance&resourcetype=HWCIT

Remarque perso : bon appétit !
@+ Paul
Twisted Evil Twisted Evil Twisted Evil
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Paul Johan de Graauw
Arbre


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MessagePosté le: Mer Mar 12, 2008 8:03 pm    Sujet du message: Reach: l’insécurité juridique perdure Répondre en citant

Bonjour à vous,

Le règement pappelé "Reach" ,c 'était pour les réduire, ces produits chimiques
déjà archi reconnu comme carrément cancérigène... et bien les lobbies ont encore frappé :

Reach: l’insécurité juridique perdure
11/03/2008 10:22
A trois mois du début de la phase de pré-enregistrement des substances chimiques produites à plus de une tonne par an, les entreprises ne connaissent toujours pas toutes les règles du jeu du programme Reach.


Evaluer par Claire Avignon
Source : Journal de l'environnemnt

Les entreprises se regroupent déjà pour enregistrer leurs substances

«C’est la réalité, certaines entreprises ont déjà commencé à travailler ensemble pour monter leur dossier d’enregistrement». C’est ce qu’indique Catherine Lequime, spécialiste de Reach à l’Union des industries chimiques (UIC). Pour Françoise Labrousse, avocate pour Jones Day, «si la grosse activité de création des consortiums va démarrer début 2009 (suite à la phase de pré-enregistrement de juin à décembre 2008), nous sommes déjà contactés pour participer à la réalisation de certains consortiums dédiés à des substances très spécifiques». Pour le moment, les entreprises n’ont pourtant aucune obligation réglementaire. La première étape démarre avec le pré-enregistrement des substances qui leur donnera le droit de différer leur enregistrement. C’est lors de cette dernière phase que les entreprises ont l’obligation de former des forums d’échange d’informations sur les substances (FEIS) pour connaître les données de dangerosité. Une autre possibilité consiste par ailleurs à créer des consortiums pour réaliser l’évaluation et le rapport sur la sécurité chimique (CSA/CSR) exigé dans le dossier d’enregistrement.

Bien que des cartels dans la chimie soient régulièrement sanctionnés par la Commission européenne suite à la communication de données sensibles entre différents acteurs d’un même marché, le règlement Reach (1) va bientôt exiger des échanges d’informations entre les entreprises du secteur. C’est ce «paradoxe» qu’a mis en avant Olivier Cavézian, avocat à Jones Day, lors d’un atelier organisé le 6 mars par l’Association française des juristes d’entreprise (AFJE). «Le texte crée les conditions favorables pour créer des cartels, on peut très vite franchir la ligne jaune.»

Exemple: Reach prévoit que les sociétés ayant à enregistrer une même substance créent un forum d’échange d’informations sur les substances (FEIS) qui porte uniquement sur les données de danger (toxicologie, écotoxicologie, etc.). Ces informations techniques et scientifiques ne sont pas sensibles dans le sens où elles ne peuvent normalement pas fausser la concurrence. Cependant, un premier risque apparaît lorsqu’un fabricant possède des études qu’il aura l’obligation de vendre aux autres membres du forum afin de réduire les essais sur les animaux vertébrés. Comment calculer le montant pour chaque partenaire? «L’allocation des coûts pourrait se faire en fonction du volume de mise sur le marché. Or, il s’agit d’un échange d’information prohibé par le règlement (2).» Si l’intervention d’un tiers, collectant toutes les données pour attribuer le coût supporté par chacun, résout le problème, l’exemple illustre les pièges à venir lors de la mise en œuvre de Reach.

D’une manière générale, Olivier Cavézian appelle à «prévenir plutôt que guérir»: «A chaque échange d’information, si on ne fait pas attention, on peut créer les conditions entraînant une condamnation au titre de l’article 81 du traité CE, voir l’article 82 (3). Cela se produit souvent lors d’un déjeune ou d’une pause, juste après une réunion.» Même certaines informations techniques peuvent donner des indications aboutissant à un alignement des comportements sur le marché. Toujours selon l’avocat, «connaissant la Direction générale de la concurrence de la Commission européenne, les règles seront établies à l’occasion d’un contentieux».

Pour Catherine Lequime, spécialiste de Reach à l’Union des industries chimiques (UIC), «il est vrai que des règles sont à mettre en place». Mais les entreprises ne sont pas complètement abandonnées par les institutions européennes. Elles peuvent notamment se référer au chapitre 9 d’un guide publié en septembre 2007 par l’Agence européenne des produits chimiques (Echa) intitulé «Guidance on data sharing». «Il appelle l’attention des acteurs», estime Catherine Lequime. Il y est indiqué, par exemple, que lorsque plusieurs producteurs et importateurs choisissent de préparer ensemble l’évaluation et le rapport sur la sécurité chimique (CSA/CSR) d’une substance au sein d’un consortium, ils peuvent être tentés d’additionner les volumes de chacun pour évaluer l’impact global sur l’environnement. Ce qui est interdit. Le guide recommande même que l’échange d’information soit réalisé en une seule fois, ou «sporadiquement», soit moins d’une fois par an.



(1) Règlement (CE) n° 1907/2006 du Parlement européen et du Conseil, du 18 décembre 2006, concernant l'enregistrement, l'évaluation et l'autorisation des substances chimiques, ainsi que les restrictions applicables à ces substances

(2) Article 25.2 du règlement: «Les déclarants s'abstiennent d'échanger des informations concernant leur comportement commercial, en particulier en ce qui concerne les capacités de production, les volumes de production ou de vente, les volumes importés et les parts de marché»

(3) Le premier article interdit des accords entre entreprises ayant pour objet ou pour effet d’empêcher, de restreindre ou de fausser le jeu de la concurrence; le second prohibe l’exploitation abusive par une ou plusieurs entreprises d’une position dominante sur un marché

Remarquer perso :Pas sortie de cette galère là...
@+ Paum
Evil or Very Mad
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Paul Johan de Graauw
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MessagePosté le: Mer Mar 19, 2008 10:57 am    Sujet du message: 20 au 30 Mars/Semaine Sans Pesticides Répondre en citant

Salut à vous,
Encore une semaine spéciale ... cette fois ...sans pesticides

Lettre d'information du MDRGF

3 ° Semaine Pour les Alternatives Aux Pesticides
La troisième édition de cette semaine commence demain jeudi 20 mars.
A cette occasion nous vous proposons un nouveau DVD 'Bioattitude sans béatitude'. Un "petit bijou de film" selon Télérama !

3 ° Semaine Pour les Alternatives Aux Pesticides : c'est parti!

Demain débutera la nouvelle édition de la Semaine Sans Pesticides qui se tiendra du 20 au 30 mars. Au programme dejà plus de 250 événements partout en France et pour la première fois aussi en Europe (Angleterre, Belgique, Suède...) et au Québec!

Venez nombreux(ses) découvrir pourquoi et comment se passer des pesticides.

Les organisations participantes vous proposent des ateliers de formation au jardinage bio, des conférences débats, des spectacles, des visites de fermes bio, des projections de films, des expositions etc. 10 jours de sensibilisation ludiques et informatifs.

Alors que le Grenelle nous promet une réduction de moitié de l'usage des pesticides et une augmentation des terres agricoles consacrées à l'Agriculture Biologique, des hommes et des femmes se mobilisent dans le monde pour vous prouver que c'est possible et nécessaire. Nous vous attendons!

Pour plus d'information, rendez-vous sur le site http://www.semaine-sans-pesticides.com

'Bioattitude sans béatitude' : un nouveau film en DVD parait à l'occasion de cette nouvelle semaine sans pesticides !
Nous sommes heureux de vous annoncer la sortie DVD du documentaire du réalisateur Olivier Sarrazin : "Bioattitude sans béatitude".

"Une enquête sérieuse mais non dénuée d'humour .. Un petit bijou de film vif, drôle et bourré d'informations" Télérama.

L'édition DVD de ce documentaire a été co-produite par le MDRGF. Un effort a été fait tant sur le contenu du DVD que sur sa forme: une version longue de 52 min et une version courte de 20 min pour lancer des débats vous sont proposés ainsi que divers bonus... . Un beau cadeau à faire pour les fêtes de Pâques !

Vous pouvez vous le procurer en nous le commandant - Comment?
Téléchargez le bon de commande sur:

http://www.semaine-sans-pesticides.fr/pdf/Bon_Commande_MDRGF_fev08.pdf

remplissez-le et renvoyez-le nous accompagné de votre règlement à :
MDRGF 40 rue de Malte, 75011 Paris
ou en renvoyant simplement sur papier libre vos coordonnées accompagnées de votre règlement.

Tarif: 15 Euros ttc/DVD - Pour les commandes de plus de 10 DVD, promotion: 12 Euros par DVD

N'oubliez pas d'ajoutez les frais de port
France métropolitaine : les frais d'expéditions sont facturés 2,50 Euros pour 1 document , 6 Euros pour 2, 8 Euros pour 3 . Pour plus de 3 documents compter au minimum 8 Euros en fonction du poids.
Autres Etats membres de 'UE : Une participation de 6Euros pour 1 document , 10 euros pour 2, 14 euros pour 3 - pour plus de 3 documents compter au minimum 14 Euros en fonction du poids
Envois hors de France métropolitaine et UE : Une participation de 10 Euros pour 1 document - 15 Euros pour 2 documents , 19 Euros pour 3 documents - pour plus de 3 documents compter au minimum 19 Euros en fonction du poids

Lettre d'information du MDRGF plus d'infos sur notre site : http://www.mdrgf.org

Remarque perso : j'ose espérer que l'on peux participer sans payer... ou acheter l'un des articles proposés.
Surprised
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Paul Johan de Graauw
Arbre


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MessagePosté le: Mer Avr 23, 2008 5:19 pm    Sujet du message: Antilles/Le retour de la banane n'élimine pas les pesticides Répondre en citant

Source : Novethic n° 309
Pour revenir au bien nommé "chlordécone" dans les bananes antillaises :

Antilles : le retour de la banane n'élimine pas les pesticides

Huit mois après le cyclone Dean qui a ravagé les bananeraies de Guadeloupe et Martinique, le 8 avril, le porte-container "Fort Saint Pierre" débarquait à Dunkerque une cargaison de 4 800 tonnes de bananes. Au plan sanitaire, l’affaire du chlordécone continue cependant à nourrir les inquiétudes.

Août 2007, le cyclone Dean ravage les Antilles françaises. L’île de la Martinique voit la totalité de ses plantations de bananes détruites tandis que les plantations guadeloupéennes sont sinistrées pour moitié. Secteur clé de l'économie des deux îles, la culture de banane c'est environ 10 000 salariés et 9 000 ha de plantation. Avec 530 000 tonnes consommés par an, les Français sont pour le moins friands du fruit exotique. C'est donc grâce aux 25 millions d'euros versés par l'Etat pour indemniser les producteurs, que le 8 avril, le "Fort saint-Pierre" amarrait au port de Dunkerque avec près de 5000 tonnes de fruit à son bord.

"Banane durable"

La catastrophe a incité les producteurs à repenser leurs plantations. 50% des terres a été laissé en jachère et d’ici un an, les agriculteurs replanteront sur des sols plus assainis avec pour objectif de parvenir à une production exempte de parasites. Pour ce faire, les producteurs antillais bénéficient de l'aide compensatoire à la perte des recettes prévues par l'UE dans le cadre de l'Organisation commune du marché de la banane, système de libre échange entre producteurs communautaires et producteurs d'Afrique, des caraïbes et du Pacifique. Une aide soumise à un cahier des charges qui prévoit notamment la réduction de 50% de l'utilisation des pesticides. L'UGPBAN qui associe les deux regroupements privés de producteurs privés de banane aux Antilles va même jusqu'à parler de "banane durable" et Yves Jégo, secrétaire d’état à l’Outre-Mer a déclaré dans un communiqué que, selon lui, la production de bananes va vers "l'exemplarité aux Antilles en respectant des normes, communautaires et nationales, particulièrement strictes, en matière sanitaire et environnementale, mais également en matière sociale."

Chlordécone, la polémique continue, les inquiétudes persistent

Si tel est le cas c'est une bonne nouvelle puisque le rapport d'information élaboré par le comité de suite aux travaux de la mission d’information sur le chlordécone aux Antilles montre notamment que l’état des lieux, dressé en 2005, sur les risques liés à la présence de ce pesticide organochloré dans l'eau et les terres est toujours d’actualité.
Après une série d’auditions d’experts et une mission en Guadeloupe et à la Martinique, ce rapport d’étape souligne que "L’affaire du chlordécone a provoqué aux Antilles françaises un traumatisme psychologique" (voir article lié). Mis en place le 6 février par les députés à l’Assemblée nationale, ce comité, présidé par le député UMP du Finistère Jacques Le Guen estime que les recommandations établies par la commission des affaires économiques, de l’environnement et du territoire, en juillet 2005 ont été mise en œuvre mais de façon inégale. Des délais trop longs entre l’envoi des échantillons de terre -analysés en métropole- et leur retour aux Antilles persistent, en attendant la mise en place d’un laboratoire en Martinique. Du retard a également été pris dans la mise en place de périmètres de protection de captages d’eau potable en Guadeloupe.

Il faut noter par ailleurs que dans les annexes de ce rapport, les compte rendus de discussion revienne sur un audit du cancérologue Dominique Belpomme, publié en septembre 2007, pour qui l'emploi massif de certains pesticides dont le chlordécone avait engendré une ''crise sanitaire majeure'' en Martinique et en Guadeloupe. Le professeur, initiateur de l'Appel de Paris, nie avoir tenu de tels propos et, s'il reconnaît que le chlorédone n'est pas la cause du très fort taux de cancers de la prostate en Martinique, il rappelle que la rémanence du chlordécone est particulièrement longue : au moins un siècle et que d’autres polluants persistants contaminent également l’eau douce aux Antilles. Pour lui, on a posé aux Antilles une bombe sanitaire à retardement.

Renforcer le registre des cancers

De son côté, l'institut de veille sanitaire (InVS), signale qu'à ce jour aucun lien n'a été démontré entre l'exposition aux pesticides aux Antilles et les observations sanitaires qui y ont été effectuées. Pour autant, l'institut ne nie cependant pas les risques potentiels pour la santé à long terme des pesticides de la famille des organochlorés, dont le chlordécone. Une fois encore, l'origine multifactiorielle du cancer semble servir à minimiser l'impact potentiel des pesticides dont la toxicité est par ailleurs reconnue. Surtout cette situation et le manque d'études épidémiologiques longues permettent encore de faire l'impasse sur le principe de precaution. Toutefois, le rapport des parlementaires préconise de renforcer le registre des cancers à la Martinique et d’en créer un à la Guadeloupe, de créer un registre des malformations congénitales et de mettre en place un dispositif de toxivigilance dans les deux départements. Il rappelle que le plan d'action gouvernemental prévoit notamment d’organiser un suivi médical spécifique des travailleurs agricoles et de mettre en place l’accueil et le conseil aux agriculteurs installés sur des sols contaminés.

Christophe Brunella
Mis en ligne le : 23/04/2008

Remarque perso : les bananes labellisées Max machin sont de plus en plus présentes sur les linéaires et même dans les étals, alors, vu qu'elles sont à peine un peu plus chères... alimentez en la demande...
@+ Paul
Smile







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